6 - L’enlèvement éminent de l’Église
Quelle est la glorieuse espérance de l'Église ? Jésus revient bientôt ! II l'a lui-même annoncé ! Le Saint-Esprit l'a proclamé et les apôtres l'ont prêché ! L'espérance du retour imminent de Jésus en personne brille d'un éclat plus grand que celui du soleil, malgré les vains efforts de nombreux adversaires qui cherchent à saper cette merveilleuse réalité. Paul anticipait lui aussi cet événement extraordinaire lorsqu'il écrivait : « Car la grâce de Dieu source de salut pour tous les hommes a été manifestée. Elle nous enseigne à renoncer à l'impiété et aux convoitises mondaines et à vivre dans le monde présent avec sagesse, réserve et maîtrise de soi, en toute intégrité et honorabilité devant Dieu. Elle remplit nos cœurs de l'attente ardente de la réalisation de notre bienheureuse espérance : l'avènement glorieux de notre grand Dieu et Sauveur Jésus-Christ » (Tite 2 : 11 - 13, Lettres pour notre temps).
Une bienheureuse espérance
Cette bienheureuse espérance est que nous verrons bientôt Jésus face à face ! L’apôtre Pierre écrivait : « Lorsque Jésus-Christ apparaîtra, lui que vous aimez sans l'avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d'une joie ineffable et glorieuse...» (1 Pierre 1 : 8). Si le fait de croire en un Christ que nous n'avons pas vu peut engendrer en nous une joie aussi indescriptible, que sera-ce alors, lorsque nous le verrons face à face ? Car « aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir... mais alors nous verrons face à face. Aujourd'hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j'ai été connu » (1 Corinthiens 13 : 12). L'aspiration profonde de l'apôtre Paul était de ressembler à Jésus. À cause de cela, il a enduré le fouet, la torture, la faim, le péril dans l'espérance qu'après avoir revêtu l'image du terrestre, il portera aussi l'image du céleste (1 Corinthiens 15 : 43). Il conclut en disant : « Oui, si maintenant nous sommes unis à lui, si nous portons ses souffrances, nous serons aussi à ses côtés, associés à Sa Gloire dans le monde nouveau » (Romains 8 : 17). Quelle espérance ! « Encore un peu, un peu de temps : celui qui doit venir viendra, et il ne tardera pas » (Hébreux 10 : 37). Paul écrivait aux Corinthiens : « Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d'œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés » (1 Corinthiens 15 : 51-52). L'apôtre Jean a lui aussi entrevu l'espérance de cette gloire ineffable lorsqu'il a écrit : « II essuiera toutes larmes de leurs yeux et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu » (Apocalypse 21 : 4).
Une espérance vivante
Pierre considérait le retour de Jésus pour enlever les siens comme une espérance réelle et vivante. « Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus-Christ d'entre les morts...» (1 Pierre 1 : 3). Cette espérance nous est assurée par la résurrection de Christ. Par contraste avec les ténèbres qui s'accumulent autour de nous, la perspective du retour prochain de notre Seigneur produit en nous un profond renouvellement spirituel. Dans cette attente, nous accomplirons nos moindres tâches avec joie, nous prierons avec une nouvelle ferveur, en un mot notre vie chrétienne prendra une nouvelle dimension. Nos sombres vallées s'éclaireront, nos épreuves se transformeront en leçons d'obéissance et en le suivant fidèlement, nous serons assurés de sa présence et de sa protection. « Car notre cité à nous est dans les cieux, d'où nous attendons aussi comme sauveur le Seigneur Jésus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu'il a de s'assujettir toutes choses » (Philippiens 3 : 20-21).
Une espérance qui purifie
Pour l'apôtre Jean, la venue du Seigneur représentait une espérance qui nous purifie « Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsqu'il apparaîtra, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est. Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur » (1 Jean 3 : 2-3). Jean affirme que le retour du Seigneur est notre meilleure raison pour chercher à vivre une vie sainte et persévérer dans la foi. Les chrétiens ne sont pas enclins, par nature, à vivre une vie de sainteté. Il faut qu'ils soient motivés. Jean a déclaré qu'à l'apparition de Christ, tous ceux qui font partie de la famille de Dieu, ceux qui sont fils de Dieu, seront semblables à lui. Son motif pour chercher à vivre une vie chrétienne sanctifiée est enthousiasmant. Si nous voulons lui ressembler lorsqu'il apparaîtra, nous devons déjà faire tout notre possible pour lui ressembler maintenant. L'enlèvement imminent de l'église L'Église actuelle est en conflit avec l'infiltration de la mondanité en son sein. Chacun est obligé de faire face à de terribles tensions et tout spécialement nos jeunes. Ils sont exposés à toutes sortes de tentations. Le fait de vivre une vie sainte et pure est ridiculisé aujourd'hui. Certaines attractions actuelles sont presque irrésistibles pour eux. Nous faisons parfois des efforts désespérés pour résister aux assauts du monde en nous imposant de nouvelles lois. Nous mettons les jeunes en garde contre certains dangers cachés, mais nos efforts s'avèrent souvent vains. J'encourage donc vivement les pasteurs, dans leurs prédications, à élever bien haut la bannière du retour imminent de notre Seigneur Jésus. Son apparition est très proche, Celle d'un Christ triomphant et glorieux, et nous les chrétiens nés de nouveau possédons cette ferme assurance que nous serons rendus semblables à lui. Cette glorieuse espérance transformera la vie des jeunes comme celles des moins jeunes. Paul met en évidence un autre argument très puissant qui devrait nous pousser à vivre dans la pureté et la sainteté, celui de notre comparution devant le tribunal de Christ : « Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu'il aura fait, étant dans son corps » (2 Corinthiens 5 : 10). Oh ! Que nous puissions alors entendre Dieu lui-même nous dire : « C'est bien, bon et fidèle serviteur...» (Matthieu 25 : 21).
Une espérance réconfortante
Le retour du Seigneur est un message de consolation et de réconfort. Paul certifiait à ses auditeurs que « le Seigneur lui-même, à un signal donné à la voix d'un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles » (1 Thessaloniciens 4 : 13-18). Les morts en Christ ressuscités, et nous les vivants, seront tous ensemble réunis dans un enlèvement spectaculaire de la famille de Dieu pour rencontrer le Seigneur dans les airs.
Un appel à une plus grande consécration
L'espérance bienheureuse de l'enlèvement de l'Église a réveillé plus d'un chrétien rétrograde pour en faire un disciple zélé. Elle transformera une petite vie chrétienne tranquille et confortable en une vie consacrée, un chrétien satisfait de lui-même en un témoin vivant et victorieux. La réalité de l'enlèvement de l'Église ajoute une certaine urgence à nos efforts. Elle exhorte les chrétiens à tout la réalité de l'enlèvement de l'Église nous exhorte à parvenir à une plus grande consécration et à évangéliser avec plus de ferveur jusqu'à l'avènement du Seigneur. L'enlèvement imminent de l'église mettre au service du Maître de la moisson pour obéir à son appel. L'imminence du retour de notre Seigneur Jésus-Christ est une puissante motivation qui devrait pousser les chrétiens à faire aussi des sacrifices financiers en vue d'obéir à l'ordre du Maître d'annoncer l'évangile jusqu'aux extrémités de la terre. L'apôtre Paul a présenté l'enlèvement de l'Église, non pas d'une manière théorique, mais comme une espérance réconfortante qui stimule les chrétiens à une plus grande consécration et à un mode de vie plus sanctifié. Ce message nous exhorte à parvenir à une plus grande maturité et à évangéliser avec plus de ferveur jusqu'à l'avènement du Seigneur. Ainsi, avec l'apôtre Jean sur l'île de Patmos, nous pourrons alors nous exclamer : « Amen ! Viens, Seigneur Jésus ! » (Apocalypse 22 : 20). Pentecostal Evangel U.S.A. Transmis par René Barrois
7 - Quand ils diront : paix et sûreté !...
« Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! » (1Thessaloniciens 5 : 3)
La Parole de Dieu déclare à propos du retour de notre Seigneur Jésus-Christ : « Pour ce qui est des temps et des moments, vous n’avez pas besoin, frères, qu’on vous en écrive. Car vous savez bien vous-mêmes que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit. Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l’enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n’échapperont point. » (1 Thessaloniciens 5 : 1 - 3, voir le contexte, 1 Thessaloniciens 4 : 13 - 18)
Depuis de longs mois, la covid-19 semble occuper la presque totalité de l’espace médiatique. Nécessaire ou abusif ? Elle est omniprésente dans les informations quotidiennes, souvent contradictoires au fil des mois. Les masques sont inutiles et inefficaces, nous disaient certains ; puis : les masques sont indispensables, affirmaient les autres ; quand ce n’était pas les mêmes qui avaient viré leur cuti entre temps. Ils ont dit tout et son contraire. Confinement, dé-confinement, re-confinement possible, partiel en tout cas...nous sommes sur-informés, saturés, conditionnés, manipulés.
Et pendant ce temps-là, des événements mondiaux d’une importance capitale, sont occultés, ou presque. Notamment le rapprochement entre Israël et les pays arabes. Allaient-ils se réconcilier ? Depuis quelque temps, leur rapprochement avait progressé spectaculairement avec l’accord de normalisation des relations israélo-émiriennes. Un traité devait être signé prochainement à la Maison-Blanche. Thierry Oberlé, écrivait dans « Le Figaro » du 7 septembre 2020 : « L’accord négocié par Washington, afin d’établir une normalisation complète des relations entre Israël et les Émirats arabes unis (EAU), a été qualifié par Donald Trump d’«énorme avancée». Obtenu en échange du renoncement de Benyamin Nétanyahou à sa promesse d’annexion d’une partie de la Cisjordanie occupée, il constitue un succès diplomatique pour le président américain lancé dans une campagne électorale à l’issue incertaine. Il crée également une donne inédite dans les rivalités géostratégiques entre les pays du Golfe, l’Iran, la Turquie et le Qatar. Et il profite à Israël, qui peut se targuer de ratifier un pacte avec un pays arabe sans passer par le préalable d’un règlement du conflit israélo-palestinien. »
Quel chrétien, éclairé par la Parole de Dieu, pourrait nier l’évidence d’une accélération de l’Histoire ? Israël est et sera le centre de l’accomplissement des prophéties bibliques concernant les temps de la fin.
Israël s’avance-t-il dans une voie de séduction ? C’est certain. C’est écrit.
L'accord de normalisation des relations entre Jérusalem et Riyad, devait être officiellement signé en présence du président des États-Unis. « L'accord entre Israël et les Émirats arabes unis avait été dévoilé à la mi-août, déclare le journal « Les Échos ». Suivi quelques jours plus tard, le 31 août, par un vol direct utilisant l'espace aérien saoudien, symbolisant de manière spectaculaire la normalisation des relations entre les deux États. Un pas de plus dans la formalisation de cet accord va être franchi le 15 septembre prochain puisqu'il sera signé, comme l'a annoncé un responsable américain, à la Maison Blanche lors d'une cérémonie. » (Publié le 8 septembre 2020)
Peut-on parler de victoire diplomatique ? Il semble bien que oui. Mais ne voyons-nous pas s’accomplir les paroles du prophète Daniel : « ...Ils se mêleront par des alliances humaines... » (Daniel 2 : 43) ?
« L'établissement de relations diplomatiques entre Israël et les alliés des États-Unis au Moyen-Orient, y compris les riches monarchies du Golfe », poursuit « Les Échos », est un objectif clé de la stratégie régionale de Donald Trump pour contenir la République islamique d'Iran, ennemi intime de Washington et de l’État hébreu. Cet accord est donc présenté comme une victoire diplomatique du président américain dans la région. Pour certains observateurs, c'est toutefois le signe que les Émirats n'ont plus une confiance absolue dans le rôle de protecteur que les États-Unis ont joué jusque-là vis-à-vis d'eux. »
Cette évolution géopolitique qui se veut porteuse d’une nouvelle paix dans un Moyen-Orient remodelé est-elle un colosse aux pieds d’argile ? Le fer se mêle-t-il à l’argile, pour reprendre une image de la prophétie de Daniel (2 : 41) ?
« Cet accord fera des Émirats le troisième pays arabe seulement à établir des liens diplomatiques avec l’État hébreu », souligne encore « Les Échos », après les traités de paix conclus avec l’Égypte (1979) et la Jordanie (1994). Le royaume du Bahreïn et le sultanat d'Oman pourraient suivre le même chemin que les Émirats arabes unis. »
« L'accord a été vivement critiqué à la mi-août par les dirigeants palestiniens, qui voient dans ce rapprochement une trahison de leur ancien allié arabe, souligne encore « Les Échos ». En guise de justification, les Émirats arabes font valoir qu'en contrepartie de leur rapprochement avec Israël, le gouvernement de Benjamin Nettoyant a « suspendu » son projet d'annexion de 30 % de la Cisjordanie. » (Publié le 8 septembre 2020)
Effectivement le royaume de Bahreïn a suivi le chemin des Émirats arabes unis. Un mois après l’accord entre les Émirats arabes unis et Israël, le président américain, Donald Trump, a annoncé, vendredi 11 septembre, que Bahreïn et l’État hébreu allaient normaliser leurs relations. « Encore une percée historique aujourd’hui !, a tweeté le locataire de la Maison Blanche. Nos deux grands amis Israël et Bahreïn ont conclu un accord de paix. »
Dans un communiqué commun, les dirigeants des deux États et Donald Trump écrivent : « C’est une étape historique en direction de la paix au Moyen Orient. L’ouverture d’un dialogue direct sur la création de liens entre ces deux sociétés dynamiques et leurs économies développées va permettre de confirmer la transformation du Moyen-Orient et accroître la stabilité, la sécurité et la prospérité dans la région. » Le communiqué commun diffusé par la Maison Blanche précise que Bahreïn se joindra à une cérémonie de signature prévue à Washington entre Israël et les Émirats arabes unis, en présence de M. Nétanyahou.
De son côté, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a écrit, dans un communiqué en hébreu : « Citoyens d’Israël, je suis ému de vous informer que ce soir nous parviendrons à un autre accord de paix avec un autre pays arabe, Bahreïn. Cet accord s’ajoute à la paix historique avec les Émirats arabes unis. »
Pour Khaled Al-Khalifat, un conseiller du roi de Bahreïn Hamad Ben Issa Al-Khalifa, cet accord contribue à « la sécurité, la stabilité et la prospérité » de la région. Cette initiative « envoie un message positif et encourageant au peuple d’Israël, qu’une paix juste et globale avec les Palestiniens est la meilleure voie », a-t-il ajouté dans un tweet.
Le président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, s’est lui aussi exprimé en ces termes : « Je salue cette importante étape qui vise à consolider la stabilité et la paix au Moyen-Orient et qui permettra de trouver une solution juste et permanente à la cause palestinienne. »
D’autres États vont-ils suivre, et entrer dans cet accord historique ? C’est en tout cas ce que prédit Donald Trump, précisant que l’Arabie saoudite finirait par faire le pas : « Vous verrez d’autres pays arriver assez rapidement et nous pourrions avoir la paix au Proche-Orient,a-t-il déclaré. Je pense qu’en fin de compte, plusieurs pays vont s’associer. Les grands vont arriver. J’ai parlé au roi d’Arabie saoudite, donc nous nous parlons. Nous venons de commencer le dialogue et on les verra arriver. »
Mais la Parole de Dieu ne nous laisse pas d’espoir quant à une paix « apocalyptique » établie par les hommes, sans le Prince de la paix. En effet, « la spectaculaire annonce de la normalisation des relations entre Israël et les Émirats arabes unis (EAU) peut se résumer à un adage aussi populaire que lapidaire : l’ennemi de mon ennemi est mon ami, écrit Benjamin Barthe. Si la fédération du golfe Persique a décidé de sauter le pas de la reconnaissance diplomatique de l’État hébreu, après des années de coopération sécuritaire secrète, c’est d’abord pour former le front le plus solide possible face à l’Iran. La puissance croissante de la République islamique au Proche-Orient, parce qu’elle vient contester l’ordre stratégique pro-américain qui prévalait jusque-là dans la région, inquiète au plus haut point les EAU et Israël, deux partenaires-clés des États-Unis. (« Le Monde » publié le 14 août 2020).
L’autorité palestinienne et le mouvement islamiste Hamas, se sentent trahis. « L’accord entre Bahreïn et Israël est un coup de poignard dans le dos de la cause palestinienne et du peuple palestinien », a déclaré Ahmad Majdalani, ministre des affaires sociales de l’Autorité. Le Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, a dénoncé une « agression » portant un « grave préjudice » à la cause palestinienne.
Ils en ont parlé depuis des semaines. C’est chose faite, ils l’ont signé. Washington a scellé les accords de normalisation entre Israël et deux pays du Golfe. Le mardi 15 septembre 2020, la Maison-Blanche a organisé la signature des « Accords Abraham » : le traité de normalisation des relations entre Israël et les Émirats arabes unis annoncé mi-août, et celui dévoilé vendredi entre Israël et Bahreïn. Une victoire pour le Premier ministre Benyamin Netanyahu.
Un accord de paix...au bord d’un volcan ?
Même s’« il se passe des choses au Moyen-Orient que personne n'aurait même pu envisager », ainsi que l’a salué Donald Trump, nous, chrétiens devons rester vigilants. Les événements mondiaux de toute nature, ces fameuses douleurs de l’enfantement dont a parlé notre Seigneur Jésus-Christ ; ces contractions annonciatrices de l’apparition séductrice de l’antéchrist, d’une part, et de l’avènement glorieux de Christ, d’autre part, se rapprochent et sont de plus en plus fortes. L’heure n’est pas à l’insouciance, à la légèreté, à l’ivresse d’un christianisme exsangue de la puissance de l’Esprit. L’Esprit prophétique sonne de la trompette. Que le peuple de Dieu l’entende ! Prions, sanctifions-nous, pratiquons la justice, veillons, proclamons l’Évangile haut et fort.
Le temps est très court. Les jours de l’Église sont comptés. - Paul BALLIERE www.batissezvotrevie.fr